Des murs jaunes; des marches colorées de mosaïque et; en haut, une petite terrasse. On traverse la terrasse aux transats vides et vue sur une ruelle de la médina. Une porte, au fond. Une porte verte en fer. "Chambre pour trois", sourit l'hôtellier moustachu.
Et puis, rien. Que des sourires, des regards et des promenades dans le vent. Les vagues, les Alizés, la musique en fond toute la journée, toute la nuit, les after dans les riads assis sur les tapis, avec des dizaines d'étrangers juste contents d'être là et se passant la Siniya de thé.
Dans la petite boutique "au petit bonheur la chance", je trouve le pendentif que j'ai toujours voulu. Il est resté pendu à mon cou pendant plus d'une année. Puis, un jour, il a disparu avec mes souvenirs.
Thursday, June 16, 2005
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