Everytime I hear you laugh, it makes me cry.
Du Rolling Stones dans les oreilles pour démarrer la journée. Hier, c'étaient les néons des voitures sur Ahmed Balafrej. Chaque voiture clignant des phares et me transmettant les messages que je veux entendre, des reproches, des consolations qui durent le temps d'un feu rouge. Je veux voir des signaux partout, je veux voir du sens, des raisons de croire que ce ne sont que des nuages d'été qui me cachent le soleil.
Aujourd'hui, j'ai été rebaptisée "parenthèse", sans égorger de mouton, sans se faire mal aux dents avec des dragées trop dures, ou tomber sur une amande amère.
Parenthèse délicieuse, cela dit. Parenthèse de bonheur sans ride, de symphonie sans fausse note, de plein d'Omega3, mais parenthèse. A croire que tous les points de suspension étaient suspendus.
La confusion m'horripile.
J'ai des ratures plein la page mais qu'est-ce que c'est bon de continuer à tatouer. Au nom de tous les défauts les plus abscons, les plus inattendus et les plus délicieux. Je ne vis que pour ça.
En mi soledad, en mi libertad, en mi soledad
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3 comments:
Hello,
J'ai découvert ton blog au hasard de mes périgrinations sur le web et je m'y suis attardé. J'ai été intrigué par ton dernier billet. Ta soif de signes et de sens est communicative après t'avoir lu. La confusion des genres aussi.
Fouad> Mrahba. Tant que ça communique quelque chose..La confusion est totale parfois.Mais on émerge je pense. Non?
Chokran Najlae,
Tu as raison tant que le lien communicationnel tient l'espoir d'une émergence sous une forme ou une autre demeure. En tous cas à lire au sujet de ta confusion hier m'a fait réaliser l'étendue de la miennne lol.
Au plaisir de te lire.
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