Saturday, March 31, 2007
Le goût des autres
Je suis vidée. Il se passe trop de choses devant mes yeux, trop de voix dans ma tête, trop de monde, des ombres, des gens qui poussent de partout.
Pourtant, ce matin, tout allait plutôt lentement, malgré l'effervescence à la gare. Un visage familier près du kiosque, un eye-contact que j'ai voulu éviter, mais mon sourire m'a trahie. Comment ne pas se réfugier entre deux wagons pour mimer la chorégraphie de Put your hands up for Detroit? Un bonheur.
Puis c'était l'attente. L'attente sur l'autoroute. Les voitures qui passent, les cars qui passent, les taxis qui passent, les camions qui roulent, sous tes yeux. Tu pourrais cracher dessus, mais le remake de Titanic sera pour un autre jour. Peut-être.
Puis c'était la foule violette. Compacte. Indécise. Le bruit. Le tourbillon. Le soleil. Le sentiment que des ridules se creusent dans ton visage à vue d'oeil, seconde par seconde, mot par mot. Avant, tu ne trouvais pas le courage d'acheter une bouteille d'eau à l'épicerie. Et là, c'est comme si ce métier te donnait une armure à enfiler tous les matins. You gotta do what you gotta do. Tu fonces tête levée comme si tu avais la science infuse en globules additionnelles. Tu fronces les sourcils lorsqu'un curieux veut se mêler. Tu ne veux pas rater de détail. Et à force d'y réfléchir, tu finis par en rater.
J'ai vu la jalousie aujourd'hui. Trop de fois.
J'ai vu deux amitiés sincères se nouer devant mes yeux.
J'ai vu un homme embrasser la main d'un autre, par amour. Pas celui des désirs, mais celui du respect, de l'admiration.
J'ai vu de la peinture fraîche qui n'a pas fait disparaître le macabre. J'aurais voulu que le chat me raconte.
C'est bizarre. Parfois, je sens que je vis par procuration.
Pourtant, ce matin, tout allait plutôt lentement, malgré l'effervescence à la gare. Un visage familier près du kiosque, un eye-contact que j'ai voulu éviter, mais mon sourire m'a trahie. Comment ne pas se réfugier entre deux wagons pour mimer la chorégraphie de Put your hands up for Detroit? Un bonheur.
Puis c'était l'attente. L'attente sur l'autoroute. Les voitures qui passent, les cars qui passent, les taxis qui passent, les camions qui roulent, sous tes yeux. Tu pourrais cracher dessus, mais le remake de Titanic sera pour un autre jour. Peut-être.
Puis c'était la foule violette. Compacte. Indécise. Le bruit. Le tourbillon. Le soleil. Le sentiment que des ridules se creusent dans ton visage à vue d'oeil, seconde par seconde, mot par mot. Avant, tu ne trouvais pas le courage d'acheter une bouteille d'eau à l'épicerie. Et là, c'est comme si ce métier te donnait une armure à enfiler tous les matins. You gotta do what you gotta do. Tu fonces tête levée comme si tu avais la science infuse en globules additionnelles. Tu fronces les sourcils lorsqu'un curieux veut se mêler. Tu ne veux pas rater de détail. Et à force d'y réfléchir, tu finis par en rater.
J'ai vu la jalousie aujourd'hui. Trop de fois.
J'ai vu deux amitiés sincères se nouer devant mes yeux.
J'ai vu un homme embrasser la main d'un autre, par amour. Pas celui des désirs, mais celui du respect, de l'admiration.
J'ai vu de la peinture fraîche qui n'a pas fait disparaître le macabre. J'aurais voulu que le chat me raconte.
C'est bizarre. Parfois, je sens que je vis par procuration.
Sunday, March 25, 2007
Au rapport
Je n'ose pas croire que ma connexion ne se soit pas arrêtée en une heure. Que soient loués les aïeux de l'employé Maroc Telecom venu cet après-midi porter secours à un débit agonisant crachant quelques pages -et encore!- une heure par jour.
Semaine éprouvante; travaillant toujours sur le plan stratégique "connaître le Maroc rue par rue". Cette fois-ci, on a mis le cap sur Larache, ma première fois dans cette agréable petite ville. Fameux Balcon Atlantico. Poisson délicieux. Extraordinaire vue de Khmiss Sahel, où les vallées semblent plonger directement dans l'océan. Où commence le bleu, où s'arrête le vert. Pas le temps de s'oublier, il faut déjà passer à autre chose.
Je n'arrête pas de me poser des questions sur ce job. Parfois, je sens que le côté charogne domine. Je suis toujours très mal à l'aise de rentrer chez les gens, pratiquement violer leur intimité, même si je n'ai jamais connu de résistance, so far. Au contraire, les gens sont très accueillants. S'ils ne sont pas très à l'aise au début, ils le sont plus tard. Ils semblent même y prendre plaisir, narrent leurs vies comme des épisodes de feuilleton égyptien. Mais pour moi, porter cela à l'écran -comme pour le reportage qui passera jeudi- est un acte de schizophrénie assumé épisodiquement. Seulement épisodiquement. Je sens clairement que les magazines étaient un bon choix pour moi. Pas question de braquer un micro sur quelqu'un pour arracher une déclaration qui passe au 12h45. Ô frisson d'effroi.
Bien sûr, il y a des fous rires en série, lorsque quelqu'un bloque sur un mot, lorsqu'un interviewé dit totalement le contraire de ce qu'il devrait, lorsqu'on s'emmêle dans les câbles XLR moi, le cameraman et le preneur de son,...Aujourd'hui, un caïd surgit de nulle part, un grain de semoule au coin des lèvres, des babouches aux pieds, pour voir ce que "douzième" mijotait dans le coin. D'autres barbouzes nous croient aveugles, nous suivent à longueur de journée. On se réveille le matin pour trouver un moqaddem penché sur la plaque d'immatriculation de la 4*4 et notant soigneusement le numéro sur son calepin. Un autre d'jeune se présente comme un inspecteur de police et m'assure de leur volonté de garantir notre sécurité pour toute la durée de notre séjour. Choukrane a khouya.
Dix mille contraintes font miroiter la paix relative que l'on a en presse écrite. Parfois en radio aussi. Mais j'imagine que c'est pour ces mêmes contraintes que la satisfaction du travail n'en est finalement que plus grande.
Semaine éprouvante; travaillant toujours sur le plan stratégique "connaître le Maroc rue par rue". Cette fois-ci, on a mis le cap sur Larache, ma première fois dans cette agréable petite ville. Fameux Balcon Atlantico. Poisson délicieux. Extraordinaire vue de Khmiss Sahel, où les vallées semblent plonger directement dans l'océan. Où commence le bleu, où s'arrête le vert. Pas le temps de s'oublier, il faut déjà passer à autre chose.
Je n'arrête pas de me poser des questions sur ce job. Parfois, je sens que le côté charogne domine. Je suis toujours très mal à l'aise de rentrer chez les gens, pratiquement violer leur intimité, même si je n'ai jamais connu de résistance, so far. Au contraire, les gens sont très accueillants. S'ils ne sont pas très à l'aise au début, ils le sont plus tard. Ils semblent même y prendre plaisir, narrent leurs vies comme des épisodes de feuilleton égyptien. Mais pour moi, porter cela à l'écran -comme pour le reportage qui passera jeudi- est un acte de schizophrénie assumé épisodiquement. Seulement épisodiquement. Je sens clairement que les magazines étaient un bon choix pour moi. Pas question de braquer un micro sur quelqu'un pour arracher une déclaration qui passe au 12h45. Ô frisson d'effroi.
Bien sûr, il y a des fous rires en série, lorsque quelqu'un bloque sur un mot, lorsqu'un interviewé dit totalement le contraire de ce qu'il devrait, lorsqu'on s'emmêle dans les câbles XLR moi, le cameraman et le preneur de son,...Aujourd'hui, un caïd surgit de nulle part, un grain de semoule au coin des lèvres, des babouches aux pieds, pour voir ce que "douzième" mijotait dans le coin. D'autres barbouzes nous croient aveugles, nous suivent à longueur de journée. On se réveille le matin pour trouver un moqaddem penché sur la plaque d'immatriculation de la 4*4 et notant soigneusement le numéro sur son calepin. Un autre d'jeune se présente comme un inspecteur de police et m'assure de leur volonté de garantir notre sécurité pour toute la durée de notre séjour. Choukrane a khouya.
Dix mille contraintes font miroiter la paix relative que l'on a en presse écrite. Parfois en radio aussi. Mais j'imagine que c'est pour ces mêmes contraintes que la satisfaction du travail n'en est finalement que plus grande.
Friday, March 16, 2007
The Unforgiven
Je suis une lâche. Une lâche qui n'a plus de patience pour les imbéciles.
Je suis une aveugle sélective. Non, je ne t'ai pas vu sur le quai de la gare ce matin. J'avais les yeux plongés dans une photo très gore de la cage thoracique du kamikaze du 11 mars. Je ne t'ai pas vu sourire, converser, fumer une énième cigarette avant de monter dans le monstre grondant.
Je suis une sourde occasionnelle qui ne prend pas la peine de répondre au téléphone si le correspondant ne fait pas jaillir une étincelle de tendresse, d'admiration, d'intérêt (exception faite du trop-plein de boulot et d'une cabine de montage sans réseau).
Je suis une lâche. Je suis une lâche à la sensibilité exacerbée. Et déçue.
How did the warmest blizzard turn into a desert of emptiness? There's no way I can allow mediocrity to slowly swallow pieces of my universe. That's why today, I erased your birthday from my calendar.
Je suis une aveugle sélective. Non, je ne t'ai pas vu sur le quai de la gare ce matin. J'avais les yeux plongés dans une photo très gore de la cage thoracique du kamikaze du 11 mars. Je ne t'ai pas vu sourire, converser, fumer une énième cigarette avant de monter dans le monstre grondant.
Je suis une sourde occasionnelle qui ne prend pas la peine de répondre au téléphone si le correspondant ne fait pas jaillir une étincelle de tendresse, d'admiration, d'intérêt (exception faite du trop-plein de boulot et d'une cabine de montage sans réseau).
Je suis une lâche. Je suis une lâche à la sensibilité exacerbée. Et déçue.
How did the warmest blizzard turn into a desert of emptiness? There's no way I can allow mediocrity to slowly swallow pieces of my universe. That's why today, I erased your birthday from my calendar.
Wednesday, March 14, 2007
Journalism freshner
Je les revois encore marcher ensemble dans le courtyard de l'école, les yeux dans les yeux, la démarche légère, des sourires d'enfants. Anna, "bent Berkeley" par excellence. Ses parents, hippies, avaient fait le tour du monde l'emmenant par l'occasion au Maroc, où elle goûtera "les yaourts les plus délicieux du monde". Jon, aussi brillant que discret, se réveillait seulement sur le dance-floor (mémorable soirée Halloween), ou venait partager avec nous ses impressions après son docu post-tsunami.
Anna et Jon partagent une passion pour les reportages internationaux. Maintenant qu'ils ont terminé leurs études et fait leurs preuves, ils ont décidé de se lancer dans une aventure particulière: ils ont acheté leur propre matériel audio-visuel et vont faire le tour du monde, à la Kevin Sites, puis vendre leurs reportages. Le Soudan, la Tanzanie, le Bangladesh, l'Indonésie, le Népal, la RD du Congo seront leurs étapes, entre autres.
Plus de détails à cette adresse: http://www.backpackjournalist.org/
Anna et Jon partagent une passion pour les reportages internationaux. Maintenant qu'ils ont terminé leurs études et fait leurs preuves, ils ont décidé de se lancer dans une aventure particulière: ils ont acheté leur propre matériel audio-visuel et vont faire le tour du monde, à la Kevin Sites, puis vendre leurs reportages. Le Soudan, la Tanzanie, le Bangladesh, l'Indonésie, le Népal, la RD du Congo seront leurs étapes, entre autres.
Plus de détails à cette adresse: http://www.backpackjournalist.org/
Tuesday, March 06, 2007
Ghostrider
En sortant du train, le pas pressé et l'échine courbée devant le vent du matin, je me suis trouvée face à face avec un sosie de mon cousin Yousr.
J'ai encore trois photos de nous bébés, dans la même baignoire orange, avec nos peaux rosées et douces, nos deux dents visibles à l'éclat de rire, conversant dans un langage incompréhensible et si évident. Dans la photo, la main d'une dame, penchée sur nous. Je ne sais pas qui ça peut être. Ma mère. La sienne. A l'époque, ça ne faisait aucune différence.
Yousr et moi n'avions que quelques mois de différence. Des presque-jumeaux. Le même niveau d'études. Il vivait à Salé, moi à Rabat. Les weekends, je sais qu'on va se voir, réviser ensemble, parler du dernier épisode du Captain Majid, prendre le goûter ensemble, se courir après dans le jardin, jouer avec le chien, aux raquettes, au foot, boire beaucoup de soda, faire de la bicyclette, escalader le mur de ma chambre et sauter du plafond sur mon lit, échapper à une de nos mères nous courant après avec un balai, nous traitant de tous les noms de zoizos non-domestiqués, suer, salir nos pantalons, faire face au monstre qui se cache dans les entrailles de la cave puis remonter les escaliers en criant de terreur, énerver Madé à force de courir derrière elle, s'effondrer sur le tapis et faire L'Homme de Vitruve en parlant de nos amourettes de l'école primaire.
Tout ça m'est revenu alors que je continuais de marcher dans la gare, en une fraction de seconde, en 35 mm, en slow motion. Toutes ces images, ces couleurs, ces sons étaient emmagasinés quelque part dans mon disque dur, en fichier caché et verrouillé.
Je ne l'ai pas revu depuis l'année du bac. J'ai entendu dire qu'il avait fait de la théologie, qu'il porte une barbe, qu'on l'appelle le fqih maintenant. Je me demande s'il me prendrait dans ses bras si je le croisais dans une rue aujourd'hui. Sûrement pas. Et moi, traverserai-je le canyon qui nous sépare désormais, pour le prendre dans les miens?
J'ai encore trois photos de nous bébés, dans la même baignoire orange, avec nos peaux rosées et douces, nos deux dents visibles à l'éclat de rire, conversant dans un langage incompréhensible et si évident. Dans la photo, la main d'une dame, penchée sur nous. Je ne sais pas qui ça peut être. Ma mère. La sienne. A l'époque, ça ne faisait aucune différence.
Yousr et moi n'avions que quelques mois de différence. Des presque-jumeaux. Le même niveau d'études. Il vivait à Salé, moi à Rabat. Les weekends, je sais qu'on va se voir, réviser ensemble, parler du dernier épisode du Captain Majid, prendre le goûter ensemble, se courir après dans le jardin, jouer avec le chien, aux raquettes, au foot, boire beaucoup de soda, faire de la bicyclette, escalader le mur de ma chambre et sauter du plafond sur mon lit, échapper à une de nos mères nous courant après avec un balai, nous traitant de tous les noms de zoizos non-domestiqués, suer, salir nos pantalons, faire face au monstre qui se cache dans les entrailles de la cave puis remonter les escaliers en criant de terreur, énerver Madé à force de courir derrière elle, s'effondrer sur le tapis et faire L'Homme de Vitruve en parlant de nos amourettes de l'école primaire.
Tout ça m'est revenu alors que je continuais de marcher dans la gare, en une fraction de seconde, en 35 mm, en slow motion. Toutes ces images, ces couleurs, ces sons étaient emmagasinés quelque part dans mon disque dur, en fichier caché et verrouillé.
Je ne l'ai pas revu depuis l'année du bac. J'ai entendu dire qu'il avait fait de la théologie, qu'il porte une barbe, qu'on l'appelle le fqih maintenant. Je me demande s'il me prendrait dans ses bras si je le croisais dans une rue aujourd'hui. Sûrement pas. Et moi, traverserai-je le canyon qui nous sépare désormais, pour le prendre dans les miens?
Friday, March 02, 2007
Trouble
Everytime I hear you laugh, it makes me cry.
Du Rolling Stones dans les oreilles pour démarrer la journée. Hier, c'étaient les néons des voitures sur Ahmed Balafrej. Chaque voiture clignant des phares et me transmettant les messages que je veux entendre, des reproches, des consolations qui durent le temps d'un feu rouge. Je veux voir des signaux partout, je veux voir du sens, des raisons de croire que ce ne sont que des nuages d'été qui me cachent le soleil.
Aujourd'hui, j'ai été rebaptisée "parenthèse", sans égorger de mouton, sans se faire mal aux dents avec des dragées trop dures, ou tomber sur une amande amère.
Parenthèse délicieuse, cela dit. Parenthèse de bonheur sans ride, de symphonie sans fausse note, de plein d'Omega3, mais parenthèse. A croire que tous les points de suspension étaient suspendus.
La confusion m'horripile.
J'ai des ratures plein la page mais qu'est-ce que c'est bon de continuer à tatouer. Au nom de tous les défauts les plus abscons, les plus inattendus et les plus délicieux. Je ne vis que pour ça.
En mi soledad, en mi libertad, en mi soledad
Du Rolling Stones dans les oreilles pour démarrer la journée. Hier, c'étaient les néons des voitures sur Ahmed Balafrej. Chaque voiture clignant des phares et me transmettant les messages que je veux entendre, des reproches, des consolations qui durent le temps d'un feu rouge. Je veux voir des signaux partout, je veux voir du sens, des raisons de croire que ce ne sont que des nuages d'été qui me cachent le soleil.
Aujourd'hui, j'ai été rebaptisée "parenthèse", sans égorger de mouton, sans se faire mal aux dents avec des dragées trop dures, ou tomber sur une amande amère.
Parenthèse délicieuse, cela dit. Parenthèse de bonheur sans ride, de symphonie sans fausse note, de plein d'Omega3, mais parenthèse. A croire que tous les points de suspension étaient suspendus.
La confusion m'horripile.
J'ai des ratures plein la page mais qu'est-ce que c'est bon de continuer à tatouer. Au nom de tous les défauts les plus abscons, les plus inattendus et les plus délicieux. Je ne vis que pour ça.
En mi soledad, en mi libertad, en mi soledad
Thursday, March 01, 2007
Qamar Ana wa7id (bis)
Il y a deux ans, je suis allée, en compagnie de mon ami Fayçal Chraibi, observer une éclipse lunaire à l'observatoire astronomique de Rabat. La soirée a été mémorable, il y avait des groupes d'enfants, des scientifiques, des tonnes de questions rigolotes et pas bêtes.
Cette semaine, rebelote: le samedi 3 mars 2007 aura lieu une éclipse totale de Lune, visible en soirée, sur tout le territoire national. L'observatoire astronomique Ribat Al Fath organise donc une veillée astronomique commençant à 21 h. Des explications de ce phénomène seront données par des spécialistes à l'observatoire.
Programme:
Début, le bord de la Lune touche la pénombre de la Terre : 20h 18
La Lune pénètre dans l'ombre de la Terre : 21 30 mn
Début de la totalité de l'éclipse (la Lune prendra la teinte rougeâtre) : 22 h 44 mn
Maximum de l'éclipse totale de la Lune : 23 h 21 mn
Fin de la totalité : 23 h 58 mn
La Lune sortira complètement de l'ombre de la Terre : 1 h 11 mn
Fin de l'éclipse, la Lune quittera la pénombre de la Terre : 2h 40 mn
Contact: 070 43 73 87
Cette semaine, rebelote: le samedi 3 mars 2007 aura lieu une éclipse totale de Lune, visible en soirée, sur tout le territoire national. L'observatoire astronomique Ribat Al Fath organise donc une veillée astronomique commençant à 21 h. Des explications de ce phénomène seront données par des spécialistes à l'observatoire.
Programme:
Début, le bord de la Lune touche la pénombre de la Terre : 20h 18
La Lune pénètre dans l'ombre de la Terre : 21 30 mn
Début de la totalité de l'éclipse (la Lune prendra la teinte rougeâtre) : 22 h 44 mn
Maximum de l'éclipse totale de la Lune : 23 h 21 mn
Fin de la totalité : 23 h 58 mn
La Lune sortira complètement de l'ombre de la Terre : 1 h 11 mn
Fin de l'éclipse, la Lune quittera la pénombre de la Terre : 2h 40 mn
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