Ayoube qui revient, repart, se ressoûle, dessoûle, se roule, en boule, dans les bras, entre les reins. Ayoube, ses maux, ses mots, furtifs, corrosifs, fictifs. Les lèvres qui brûlent, qui le brûlent. Ayoube, le cerveau en feu, elle, toujours elle.
Ayoube la solitude intense, au milieu de la foule. Ayoube sans les deux autres quarts qui faisaient de lui un 1.
Ayoube, mon ami, fuyons, fumons, jouissons, comme jamais, comme toujours.
Friday, January 06, 2006
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2 comments:
shut!
je me cherche :)
ayouB
Ayoube qui se damande s'il est possible que sa chambre soit vide à ce point et pleine de menthe ?
Ayoube qui n'arrêtent pas n'arrêtent jamais pas un moment
ni de jour ni de nuit de phalange à peau
à cou à cris bouge ne bougent pas
petit pas petit cri petit pli
et soupire ...
I'm where I'm not
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