Dehors, c’est le printemps. Trop chaud le soir. Je me retourne dans mon lit en me disant que je devrais nager très bientôt sans quoi mes nageoires feront bientôt place à de vrais muscles d’humains.
Dehors c’est le printemps et les hirondelles ne sont pas seulement dans les poèmes.
Sur la route de Larache, nous avions mis Mami à fond. Il y avait des coquelicots partout. Des taches de sang dans la verdure. J’aurais tellement voulu m’arrêter à côté de My Bousselham, donner à mes narines un peu d’air salé. Pas le temps. Trop enfoncée dans de minables accrochages, de minables détails, de médiocres personnages, de mesquines entailles qui te bouffent jusqu'à l'os. Et tu étouffes. Et t'en as rien à foutre qu'il fasse beau, qu'il neige, qu'il pleuve. A l'intérieur de toi, tu n'es que tempête. Ca orage. Avantage à l'ennemi. Et avantage à la pluie torrentielle qui s'abat sur ton pare-brise. Tu vois que dalle. Même pas la lumière au bout du tunnel. Tu pestes contre les éléments. Tu solitudes, tu certitudes et tu confusionnes alors qu'ailleurs, on s'enivre de Bizet. Tu en chiales de rage. Tu apprécies les draps propres de l'hôtel, la douche interminable, le silence. Tu es le légume du couscous, l'airbag, le parloir de prison. Tu es le doute incarné. Tu es l'ultimatum quotidien. Tu es la peur de la tombe d'Uma dans Kill Bill. Tu n'es rien. Même ton sommeil n'a plus rien de paisible. C'est le printemps and I'm such a fool for you. L'hirondelle te le dira elle-même.
Dehors c’est le printemps et les hirondelles ne sont pas seulement dans les poèmes.
Sur la route de Larache, nous avions mis Mami à fond. Il y avait des coquelicots partout. Des taches de sang dans la verdure. J’aurais tellement voulu m’arrêter à côté de My Bousselham, donner à mes narines un peu d’air salé. Pas le temps. Trop enfoncée dans de minables accrochages, de minables détails, de médiocres personnages, de mesquines entailles qui te bouffent jusqu'à l'os. Et tu étouffes. Et t'en as rien à foutre qu'il fasse beau, qu'il neige, qu'il pleuve. A l'intérieur de toi, tu n'es que tempête. Ca orage. Avantage à l'ennemi. Et avantage à la pluie torrentielle qui s'abat sur ton pare-brise. Tu vois que dalle. Même pas la lumière au bout du tunnel. Tu pestes contre les éléments. Tu solitudes, tu certitudes et tu confusionnes alors qu'ailleurs, on s'enivre de Bizet. Tu en chiales de rage. Tu apprécies les draps propres de l'hôtel, la douche interminable, le silence. Tu es le légume du couscous, l'airbag, le parloir de prison. Tu es le doute incarné. Tu es l'ultimatum quotidien. Tu es la peur de la tombe d'Uma dans Kill Bill. Tu n'es rien. Même ton sommeil n'a plus rien de paisible. C'est le printemps and I'm such a fool for you. L'hirondelle te le dira elle-même.
6 comments:
...tu es le légume du couscous...
j'adore quand tu prends des couleurs gar3ia :)))
hay hay hay hay!! continues continues je ne suis que de passage!!
kb> un mec au lycée mappelait: lgar3a :))) si,si,c vrai héhéhé
charif> gless khoud lik chi kwiyess d'atay,ça te changera des bars miteux
Les bars miteux sont une excellente source d'inspiration...j'adooooooore les bars miteux. Stork, Zrri3a par terre et une trentaine de moustachus...hmm :)
Onassis, et j'ajouterais des zitounate kou7el bardiiiine, mmmmmmmmmmmm :)))))))))
Ça, c'est la totale !
Post a Comment